En avant la France de demain
Le Mouvement orienté vers une France libérée du joug de la politique politicienne qui est mis sous contrôle de la société civile.
Nous sommes de ceux qui disent : En Avant la France vers une Démocratie Authentique et non en marche vers une gouvernance mondiale ou une décroissance.
En France, le gouvernement drogue tout le monde avec de l’argent public emprunté au lieu d’entreprendre les nécessaires réformes structurelles. Les dépenses publiques représentent 58 % du PIB (record mondial), et notre dette cumulée abyssale se monte à 3000 milliards.
La mauvaise gestion menée par Mitterrand, Chirac, Sarkozy, Hollande et maintenant Macron est flagrante. Le « quoi qu’il en coûte du Covid 19 », donnant le coup de grâce.
Une crise bancaire n’est pas à exclure Nous avons totalement perdu notre liberté d’action, notre compétitivité et tous nos ratios sont dans le rouge, quoiqu’en disent nos gouvernants actuels, qui trahissent la vérité.
La situation financière mondiale est inquiétante, mais celle de la France est calamiteuse.
On peut se poser de multiples questions sur ce qui peut advenir de la vie dans notre pays, si une large réforme de l’état n’intervient pas. Et pour l’instant, la frilosité des partis politiques à cet égard est évidente.
Le chômage est un cancer que la France s’avère incapable de conjurer. Pourtant, mieux vaut travailler que d’être assistés. On ne peut remplacer la dignité par l’indignité. Cette posture est lourde de conséquence et ne peut qu’intensifier les crises.
Notre endettement est colossal, nous détenons le record du monde des prélèvements obligatoires et nous avons encore plus de 5 millions de chômeurs, alors que nos gouvernants se targuent de bons résultats. C’est se moquer des Français en leur cachant la vérité.
Emmanuel MACRON risque de laisser un champ de ruines derrière lui.
Une chose est sure, la France, qui vit très largement au-dessus de ses moyens, va être obligée de faire des coupes sombres dans son train de vie. Si elle ne le fait pas, c’est la faillite assurée.
Mais rien ne se fera avant 2027, date à laquelle auront lieu les prochaines élections présidentielles car la France subit une crise de régime et sans majorité, les décisions importantes seront remises à plus tard.
Les Prochains Gouvernants vont avoir une tâche très compliquée. Tout sera mis sur le dos d’Emmanuel MACRON. Des mesures drastiques seront inévitables dans tous les domaines et il n’y aura pas d’administrés épargnés.
Voilà pourquoi, il est nécessaire de prévoir une transformation de notre système politique et mettre en place un contrôle citoyen, afin que dans les économies de gestion à venir, le traitement équitable de tous les Français soit respecté, Ce qui pour l’instant est loin d’être le cas.
Réformes des structures, baisse drastique du nombre d’élus, suppression de tous les comités Théodule inutiles, du Sénat, du Conseil Economique et social, de la chasse aux gaspillages avec un grand Ministère chargé de la réforme de l’état.
Actuellement la France compte environ 620 OOO élus soit un élu pour 104 habitants. Ce ratio est totalement indécent comparé à celui de tous nos concurrents de l’Union Européenne.
Nous Citoyens propose une alternative concrète et adaptée à cette situation en instaurant une Démocratie Authentique et une vaste réforme du millefeuille territorial, afin de se mettre au niveau de l’ensemble de nos partenaires Européens.
Cette réforme de l’état, devant s’accompagner de solutions intelligentes afin de résorber toutes les dépenses excédentaires et de réorganiser tout ce qui doit l’être.
Ce programme une fois établi, devra être soumis au peuple de France par référendum. Ce référendum étant précédé d’un grand débat National. Cette action devant être mise en œuvre le plus rapidement possible, c’est ce que propose le mouvement NOUS CITOYENS.
C’est là, que le Conseil National de la Citoyenneté qui remplacera le Sénat aura une immense responsabilité à assumer, pour influencer toutes ces mesures à prendre sans délai en respectant le traitement équitable de tous les Citoyens, y compris celui des gouvernants, des anciens gouvernants et de tous les élus.
L’objectif N° 1, la remise en état de l’économie et la lutte contre le chômage en retrouvant de larges marges de manœuvre afin de redonner aux entreprises une bonne compétitivité et aux Français un pouvoir d’achat raisonnable donc amélioré. Ce n’est pas la quadrature du cercle à condition de tout mettre sur la table, sans préjugés dogmatiques.
Travailler plus, produire plus et gagner plus. Il n’y a aucune autre solution, sinon c’est la porte ouverte à ce que certains appellent de leurs vœux et considèrent comme inévitable : la décroissance.
Parler de décroissance, c’est affirmer que les temps à venir sont voués à une sortie de la modernité et à une certaine passivité, à une certaine résignation. En parler cela flatte certains égos, mais le vivre, c’est une tout autre histoire de technocratie.
La décroissance est un concept à la fois politique, économique et social, né dans les années 1970 et selon lequel la croissance économique apporte plus de nuisances que de bienfaits à l’humanité.
Ne se référant à aucun courant doctrinal mais partant d’un axiome de base « On ne peut plus croître dans un monde fini », les « décroissants » (ou « objecteurs de croissance », même si certains considèrent ces deux dénominations comme différentes) se prononcent pour une éthique de la simplicité volontaire.
Concrètement, ils invitent à réviser les indicateurs économiques de richesse, en premier lieu le PIB, et à repenser la place du travail dans la vie, pour éviter qu’il ne soit aliénant, et celle de l’économie, de sorte à réduire les dépenses énergétiques et ainsi l’empreinte écologique.
Il faut rappeler ici que les décisions de 1930 ont fait suite à la terrible crise de 1929, à laquelle il fallait apporter des solutions.
MAIS, il y a un gros mais, étant donné que l’on ne peut distribuer que ce que l’on gagne, c’est accepter la baisse de revenus et donc la baisse très importante du pouvoir d’achat, donc de la capacité à bien vivre et au refus d’un certain bien être.
Nous ne sommes pas du tout sûr que les Français soient prêts à refuser la modernité et un certain confort, gagné avec le temps.
Nous pensons plutôt que la recroissance de la France, en éliminant toutes les déperditions de ressources ce qui permettrait de produire mieux, d’exporter plus et de défendre notre industrie, donc notre économie, plutôt que d’écouter les mauvaises sirènes des objecteurs de croissance.
Nous préférons défendre l’intelligence collective plutôt que le défaitisme de quelques-uns.
Nous préférons le dynamisme à l’inertie.
Construire une nouvelle vie dans nos campagnes et éviter les univers concentrationels que nous connaissons. Cela permettra de reconstruire la France en regroupant toutes les petites communes et en les dotant ainsi d’une meilleure organisation et non d’une désertification.
Il n’est pas impossible de penser et de faire en sorte que cette recroissance puisse être conciliable, avec le respect de certaines contraintes dues au devenir de la planète.
Le mot essentiel est dit : Le Respect dans tous les aspects de la vie quotidienne doit être une exigence naturelle. Ce mot devrait être inscrit en lettre d’or, dans notre constitution.
Il doit être incorporé dans le programme de l’instruction national et inculqué aux enfants dès leur plus jeune âge et réitéré dans toutes les étapes de leurs études.
En effet, c’est l’une des mauvaises conséquences de Mai 1968, à laquelle il faut impérativement remédier.
Notre sécurité en dépend.
La France, Notre France, possède en elle, toutes les ressources nécessaires pour redevenir le pays des Lumières, le pays ou l’on sait bien vivre, le pays qui retrouve son autonomie, sa liberté, sa science de l’humanisme, son réalisme, qui chasse toute idée d’oligarchie et qui sait purifier sa politique intérieure comme extérieure.
Nous Citoyens se démarque de tous les autres mouvements, en proposant une alternative à une manière de faire désolante et condamnée par une majorité de Français.
Faciliter ce renouveau, en soutenant le mouvement NOUS CITOYENS, c’est agir pour ne plus subir, c’est résister aux mauvais génies, c’est participer à la nouvelle manière de faire de la politique, tant attendue par beaucoup d’entre nous.