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Temps de lecture : 5 minutes

Le Collectif « A.I.D.A. » est orienté vers une France libérée du joug de la politique politicienne

La crise d’après

Nous sommes de ceux qui disent :

« En Avant la France démocratique et non en marche vers une gouvernance mondiale ou une décroissance. »

En France, le gouvernement drogue tout le monde avec de l’argent public emprunté au lieu d’entreprendre les nécessaires réformes structurelles. Les dépenses publiques vont représenter, 56 % du PIB en 2024, si tout va bien !!!, Nous aurons un coût de l’état le plus élevé de tout l’OCDE et les prélèvements obligatoires les plus importants au Monde. Notre pays est collectiviste. Les échecs des politiques et de la gestion menées par Chirac, Sarkozy, Hollande et maintenant Macron sont flagrants.

Dépendant de la Commission Européenne, nous avons totalement perdu notre liberté d’action, donc notre souveraineté.

Les entreprises zombies et les faillites, déferlent sur la France.

La dette publique sera encore en augmentation, c’est de l’incompétence.

L’Etat Français ouvre toutes grandes les vannes des dépenses publiques et de la fausse monnaie créée par la Fed. Les deux piliers de la théorie monétaire moderne (TMM) sont la fusion de fait entre le Trésor et la Fed, ainsi qu’une dette illimitée. Il se trouve que le Japon a effectivement une dette de 250 % du PIB, sans croissance depuis trente ans, mais sa dette est détenue par des Japonais alors que la dette des États-Unis comme celle de la France sont détenues par des investisseurs étrangers.

La BCE rachète actuellement les trois quarts des dettes émises par la zone Euro, c’est-à-dire qu’elle pratique en fait la monétisation interdite par les traités et ses statuts. C’est une potion magique.

CONCLUSION :
La situation financière mondiale est inquiétante, mais celle de la France est pire encore.

On peut se poser de multiples questions sur ce qui va advenir de la vie dans le monde dans une situation monétaire aussi périlleuse.

Les gouvernants Français ont pris la décision du quoiqu’il en coute tous azimuts.

Mais mieux vaut travailler que d’être assistés on ne peut remplacer la dignité par l’indignité. Rappelons ici que le chômage dans notre pays est supérieur à 7 %. Le plus élevé de l’Union Européenne. Cette posture est lourde de conséquence et ne peut qu’intensifier les crises.

A la sortie, l’endettement est colossal et il est bien dit que les dettes devront se rembourser.

Comment et sur quelle durée, c’’est une autre histoire. Ce que l’on sait de façon formelle, ce sont les générations futures qui, paieront le plus, sous toutes les formes.

Le champ de ruines que Macron va laisser derrière lui, sera certainement très long à effacer.

Une chose est sure, la France, qui vit très largement au-dessus de ses moyens, va être obligée de faire des coupes sombres dans son train de vie. Si elle ne le fait pas, c’est la faillite assurée.

Mais rien ne se fera avant 2027 date à laquelle auront lieu les prochaines élections présidentielles. Le futur Président va avoir une tâche très compliquée, il sera dans l’obligation de se transformer en Madame ou Monsieur Propre et prendre des mesures drastiques dans tous les domaines et il n’y aura pas d’administrés épargnés. A moins que d’ici là les évènements se précipitent.

Voilà une raison de plus, pour transformer notre système politique et mettre en place un Contrepouvoir Citoyen, dans une Démocratie Authentique, afin que dans les purges à venir, un équilibre soit respecté et que toutes les économies de gestion soient mises en œuvre dans le respect du traitement équitable de tous les citoyens. Ce qui pour l’instant est loin d’être le cas.

Réformes des structures, baisse drastique du nombre d’élus, suppression de tous les comités Théodule, fusion du Sénat et du Conseil Economique, social et environnemental, de la chasse aux gaspis avec un grand Ministère d’état auquel devra être étroitement associé, le Premier Ministre élu au suffrage universel.

Ce programme une fois établi, devra être soumis au peuple de France par référendum. Ce référendum étant précédé d’un grand débat National. Cette action devant être la première mise en œuvre par le nouveau Président.

C’est là, que le Comité AIDA a une immense responsabilité à assumer, pour influencer toutes ces mesures à prendre sans délai y compris celle de tous les élus.

L’objectif N° 1, la remise en état de l’économie et la lutte contre le chômage en retrouvant de larges marges de manœuvre afin de redonner aux entreprises une bonne compétitivité et aux Français un pouvoir d’achat raisonnable donc amélioré. Ce n’est pas la quadrature du cercle à condition de tout mettre sur la table, sans préjugés dogmatiques.

Travailler plus, produire plus et gagner plus. Il n’y a aucune autre solution, sinon c’est la porte ouverte à ce que certains appellent de leurs vœux et considèrent comme inévitable : la décroissance.

Parler de décroissance, c’est affirmer que les temps à venir sont voués à une sortie de la modernité et à une certaine passivité, à une certaine résignation. En parler cela flatte certains égos, mais le vivre, c’est une tout autre histoire de technocratie.

La décroissance est un concept à la fois politique, économique et social, né dans les années 1970 et selon lequel la croissance économique apporte plus de nuisances que de bienfaits à l’humanité.

Selon les acteurs du mouvement de la décroissance, le processus d’industrialisation a trois conséquences négatives : des dysfonctionnements de l’économie (chômage de masse, précarité, etc.), l’aliénation au travail (stress, harcèlement moral, multiplication des accidents, etc.) mais le chômage, c’est pire !!! et la pollution, responsable de la détérioration des écosystèmes et de la disparition de milliers d’espèces animales. L’action de l’homme sur la planète a fait entrer celle-ci dans ce que certains scientifiques considèrent comme une nouvelle époque géologique, appelée l’Anthropocène (qui aurait succédé à l’Holocène), et cette action menacerait l’espèce humaine elle-même. L’objectif de la décroissance est de cesser de faire de la croissance un objectif.

Ne se référant à aucun courant doctrinal mais partant d’un axiome de base — « On ne peut plus croître dans un monde fini » , les « décroissants » (ou « objecteurs de croissance », même si certains considèrent ces deux dénominations comme différentes) se prononcent pour une éthique de la simplicité volontaire.

Concrètement, ils invitent à réviser les indicateurs économiques de richesse, en premier lieu le PIB, et à repenser la place du travail dans la vie, pour éviter qu’il ne soit aliénant, et celle de l’économie, de sorte à réduire les dépenses énergétiques et ainsi l’empreinte écologique. Leur critique s’inscrit dans la continuité de celle du productivisme, amorcée durant les années 1930 et qui dépasse celle du capitalisme et celle de la société de consommation, menée pendant les années 1960. Il faut rappeler ici que les décisions de 1930 ont fait suite à la terrible crise de 1929, à laquelle il fallait apporter des solutions.

On peut bien entendu défendre cette théorie.

MAIS, il y a un gros mais, étant donné que l’on ne peut distribuer que ce que l’on gagne, c’est accepter la baisse de revenus et donc la baisse très importante du pouvoir d’achat, donc de la capacité à bien vivre et au refus d’un certain bien être. Je ne suis pas sûr que les Français soient prêts à refuser la modernité et un certain confort, gagné avec le temps.

Je suis plutôt pour la recroissance de la France, en éliminant toutes les déperditions de ressources ce qui permettrait de produire mieux, d’exporter plus et de défendre la grandeur de la France plutôt que d’écouter les mauvaises sirènes des objecteurs de croissance.

Je préfère défendre l’intelligence collective plutôt que le défaitisme de quelques-uns. Je préfère le dynamisme à l’inertie. Construire une nouvelle vie dans nos campagnes et éviter les univers concentrationels que nous connaissons. Cela permettrait de reconstruire la France en regroupant toutes les petites communes et en les dotant ainsi d’une meilleure organisation et non d’une désertification.

Il n’est pas impossible de penser et de faire en sorte que cette recroissance puisse être conciliable, avec le respect de certaines contraintes dues au devenir de la planète.

Le mot essentiel est dit : Le RESPECT dans tous les aspects de la vie quotidienne doit être une exigence naturelle. Ce mot devrait être inscrit en lettre d’or, dans notre constitution.

Il doit être incorporé dans le programme de l’instruction national et inculqué aux enfants dès leur plus jeune âge et réitéré dans toutes les étapes de leurs études.

En effet, c’est l’une des mauvaises conséquences de Mai 1968, à laquelle il faut impérativement remédier.

La France, Notre France, possède en elle, toutes les ressources nécessaires pour redevenir le pays des Lumières, le pays ou l’on sait bien vivre, le pays qui retrouve son autonomie, sa liberté, sa science de l’humanisme, son réalisme, qui chasse toute idée d’oligarchie et qui sait purifier sa politique intérieure comme extérieure.

Si vous souhaitez diffuser une tribune libre sur notre site, écrivez nous à admin@nouscitoyens.fr

1 Comment

  • Renaud
    Posted 5 décembre 2023

    Oui à plus de démocratie directe, locale, fluide…+ de contrôle des élus aussi par les citoyens !

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